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| Avec des si, elle scierait |


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[Ensemble, c'est tout]

[Ahem. Pleins de trucs.]


Ecriveurs...

Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire!
passionnee-par-les-reves : un pti coucou par ici... je découvre doucement...
emberlificoteuse : merci du passage :)
ghislaine : stop au nom de l'amour :D elle est bien bonne celle là! ^^
emberlificoteuse : Ebrahim o_O Arf tu me manques. Pis faut qu'on se voit, avec Elliotte, pis Just' aussi, pis je t'appelle demain pis je squatte pis j'ai le cafard, pis c'est triste.
emberlificoteuse : Ainsi parlait Anne.
ghislaine : Bon débarras!!!! niark niark
Agrume : (je passe par là.)
Anonyme : [Lien] O_o
Mélie : je sais pas si tu passes encore par là, au début j'm'étais dit que je t'enverrais un mail, puis en fait j'ai pas ton adresse, hinhin... donc voilà. ils manquent, tes mots.
17h17 : merci... :) [Lien]
Orage : Juste. La note à côté, là. Bien sûr nous eumes des orages... (tiens.) Elle me trotte encore souvent dans la tête, tu sais.
17h17 : Heu -y'a rien à répondre je pense- :)

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A reculons:
Août 2005 : 8 articles
Juillet 2005 : 10 articles
Juin 2005 : 20 articles
Mai 2005 : 14 articles
Avril 2005 : 12 articles
Mars 2005 : 14 articles
Février 2005 : 10 articles
Janvier 2005 : 15 articles
Décembre 2004 : 8 articles
...
Finalement. Ca 'été plutôt bien. Même très bien. Même si j'aime pas être entassée sur les gens durant une semaine. Et puis un peu de trouille de ressortir des mots après une semaine. Perdu l'habitude. Rentrée hier soir, toute fatiguée, toute ailleurs, étrange sensation en retrouvant mon chez-moi, ma famille, mon univers habituel, après cette semaine décalée de tout. Me glisser dans mon lit, après avoir raconter un petit peu, sourirw un peu, blottie dans mon grand duvet, le cd en boucle sur les oreilles, tenter de garder mes yeux trop fatigués bien ouverts devant toutes ces surprises. J'pétillais d'plaisir, j’aime qu’on me fasse plaisir, j'aime penser aux gens et que les pensent à moi. La carte de monsieur J. qui ne nous a pas oublié. Repenser à avant, quand on était voisin, avec mes 4 ans pas plus, aller lui apporter des dessins et des bricolages, les voir afficher dans sa petite cuisine. J'l'aimais bien. Et puis, sourire amusé en voyant écrit sur l'enveloppe 'le personnage de conte' suivi de mon nadresse ^^. Sacré d’moizelle des rêves, *_*. Lettre tout en jolis mots, mots oranges qui sautillent partout qui dans leur déjanterie reprennent tout leurs sens. J'l'aime, elle et ses mots farfelus. Puis, mon nâme jumelle, les mots qui m’emportent toujours, comme en écho d'mes pensées. Deux ans déjà, deux ans seulement. Lettre de I, je ne m'y attendais tellement pas. Sourire un peu, repenser à toutes ces lettres qu'on s'était échangées, même si superficielles, c’était bien, tout d'même. Et puis, Karma Police en tête, entête, le gros paquet de M., le garder pour la fin, l'ouvrir tout doucement, le joli papier rose, fushia, emberlificoté partout, et puis, dedans, les belles bougies, oui, ça m'plaît, quelques bouts de mots, sur le papier si *_* au touché, Merci. Le mail de Lou, grand sourire. Le mail de R., une larme qui s'échappe. Juste une larme. Car ça fait du bien. Et puis, les yeux qui se ferment, les souvenirs qui se brouillent, une semaine qui s'achève, tout en douceur, tout en beauté. Tout défile, tout s'oublie, mais j'ai envie d'capturer un peu tout ça, pour n'pas l'oublier trop vite. D'abord. D'abord c'était Noël. C'était mon père, ma mère, mon frère et mes sœurs. L’une partie bien vite, accompagné d’son mari. Reste nous. Quelques cadeaux échangés, même si on avait dit non. Parler, rire, se surprendre à penser que, peut-être, je n'ai pas si mal tourné, un Noël en sourire, sans salir tout ça de ma colère. M’empiffrer de fondue au chocolat, Noël c’est qu'une fois, faut essayer d'en profiter. Le lendemain, fête d'famille, du côté paternel, toujours aussi bruyant. Me sentir en dehors de tout. Me laisser entraîner par mon petit monsieur dans sa chambre, il est tout fier, il a le regard qui pétille, il veut que je voie tous ses timbres, j'lui souris, je suis triste pour lui, un petit peu, puis on redescend. Le bruit, les gens, à nouveau, me surprendre à parler d'art et de mots avec mon oncle. Ma mère-grand, qui petit à petit, me paraît de plus en plus éloignée de nous, nous les 'petits' qui s’remplissent des verres de vin, mais qui rient encore à gorge déployée, qui deviennent peut-être les 'grands'. Dévisager J., sa peau tendue sur sa frêle ossature, essayer de comprendre. Encore une fois, me sentir de plus en plus proche de mon frère. Puis, l'26, partit de bon matin. Le sourire qui s'étire au possible, l'apercevoir, sentir quelques frissons, mais… Et puis, les gens, l'agitation, charger les minibus, faire des aller-retour, courir partout, la frénésie des départs qui se palpe dans l'air. Puis, l'voyage, tout devant, à ses côtés, sentir que cette semaine va être terrible, le voir si souvent et puis l'sentir si inaccessible, au fond. Parler un peu, de films, d'musique, d'la vie, d'cadeaux, d'2046, se grignoter quelques biscuits de Noël, et puis au fond, on sait pas trop par où on doit aller, le guider bien mal mais rire bien fort. Arriver. Sautiller partout, prendre possession des lieux, tout voir, tout regarder, s'installer tout en haut. On a le troisième étage, rien qu'pour nous. Sous le toit, mansardé, avec les belles poutres qu’on finira par regretter un peu, parce qu’en se cognant la tête contre, ça fait mal. S'poser dans l'dortoir, poser nos sacs, installer la sono, les hauts-parleurs, se saouler aux mandarines, éclater d’rire. Et puis les jours qui vont défiler, avec notre complicité qui grandit d'heure en heures, les délires, les gens, C. qui est *_*, j'l'adore déjà. Se retrouver devant quelques bouteilles de bière et d'alcool, à trinquer ensemble. Goûter juste un peu. Rire avec les autres, alcool qui émèche quelques uns, plier de rire, on s'amuse, on est bien. Puis, s'chercher à tout moment des occasions pour m’glisser dans la cuisine. Sourire, un peu trop peut-être. Mais j'profite de le voir. C. qui est vraiment d'ceux qui connaissent Joseph, on s'connaît à peine mais déjà on parle et rit ensemble à tout moment. M'sentir dans mon élément, au milieu d'eux, mettre d'la musique qu’on aime qui résonne dans tout le chalet. Je sais plus trop, mais je sais que j'ai ri comme rarement. Soirée d'nouvel an, le petit mouton qui bbbbbbbbrrrrrrrrrrrroutait, malgré ses problèmes de digestion, puis que des délires, toute la soirée, rire, rire et rire encore. Puis avant minuit, quelques jeux, tout le monde impatient. On a droit à un message de A. parti en Russie. E qui craque. La serrer dans mes bras. 'Il va revenir.' Laisser ses larmes couler. Et puis hop, 0 heure 0 minute 0 seconde ! Trop beau ! On se crie des bonnes années dans tous les sens, on s’embrasse, on s’prend dans nos bras, on se fonce dedans, des gens partout, des sourires partout, nous avec nos magnifiques cheveux argentés et bleu métalisés qui se perdent partout, la passoire ridicule bien calée sur ma tête. Et puis la musique, et c'est parti, on danse, on crie, on chante, on se déhanche, on sautille. S. qui me prend la main et sans me rendre compte, m’retrouver dans ses bras, dans une danse mémorable, attirée d’tous les côtés, on casse le rythme et l’ambiance calme, mais je m'amuse tant, il est incroyable. Les plus petits qui s'en vont, on change de salle, mais on continue. Toujours la musique à fond, les spots de toutes les couleurs, nous qui dansons sans nous arrêter. Mon plus beau Nouvel An. Certains s'en vont, ils fatiguent. De soixante au départ on s'retrouve à six, toujours en train de danser, malgré les pieds qui fatiguent, c’est trop beau. J'me retrouve dans un état second, les nuits dernière ont été courtes et ça se sent, mais je veux tenir, au moins jusqu'à 6 heures j'ai dit ! Je le lorgne du coin de l'œil, mais, mais, ça restera un rêve, inaccessible. Je ris avec C, j'me sens si proche d’elle, c'est incroyable, ça m'est rarement arriver une entente si bonne et si rapide avec une quasi-inconnue. Et puis, les pieds fatiguent trop, j'ai de légers vertiges, j'm'en va rejoindre mon lit. Cette soirée était vraiment *_*. Et puis bien sûr d'autres bons souvenirs, mais tout raconter est impossible, ça a été merveilleux, c’est tout. Ou plutôt, c'est tellement beaucoup. Là, un peu de nostalgie, mais ça va, pas trop trop. Juste triste de penser que je n’aurai sûrement plus d’occasion de les voir, lui et C.
Ecrivaillé par emberlificoteuse, à 14:35 dans son "Brikabrak".

Bouches décousues!

  Emmylou
03-01-05
à 20:04

o_o

Oh, j'suis ivre.
*J'secoue la tête pour remettre comme il faut dedans*
J'suis complètement ivre de tous tes mots.
Comme une grande rasade de champagne frais et le sourire.
*-*

  emberlificoteuse
emberlificoteuse
04-01-05
à 13:52

*_*


Oh! Rendre ivre les gens de mes mots, c'est un des plus beaux compliments qu'on m'ait (jamais) fait :).

  Emmylou
04-01-05
à 14:28

Re: *_*

:D



Tout le plaisir est pour moi
^^

  Mae
05-01-05
à 13:53

*

:)

(C'est de plus en plus beau, chez toi)

  Anonyme
05-09-05
à 04:42

Lien croisé

Web Blog Directory - WeBlog A Lot - Aggregating the PoweR of Blogs! : " emberlificoteuse : (Jan 03 2005 14:15 GMT) - Finalement. Ca 'été plutôt bien. Même très bien. Même si j'aime pas être entassée sur les gens durant une semaine. Et puis un peu de trouille de ressortir des mots après une semaine. "