Je m'entête dans
[Nosfell]
[27 août :]
[No Surprises]
[American Beauty]
[Ensemble, c'est tout]
[Ahem. Pleins de trucs.]
Ecriveurs...
Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire!
passionnee-par-les-reves : un pti coucou par ici... je découvre doucement...
emberlificoteuse : merci du passage :)
ghislaine : stop au nom de l'amour :D elle est bien bonne celle là! ^^
emberlificoteuse : Ebrahim o_O Arf tu me manques. Pis faut qu'on se voit, avec Elliotte, pis Just' aussi, pis je t'appelle demain pis je squatte pis j'ai le cafard, pis c'est triste.
emberlificoteuse : Ainsi parlait Anne.
ghislaine : Bon débarras!!!! niark niark
Agrume : (je passe par là.)
Anonyme :
[Lien] O_o
Mélie : je sais pas si tu passes encore par là, au début j'm'étais dit que je t'enverrais un mail, puis en fait j'ai pas ton adresse, hinhin... donc voilà. ils manquent, tes mots.
17h17 : merci... :)
[Lien]
Orage : Juste. La note à côté, là. Bien sûr nous eumes des orages... (tiens.) Elle me trotte encore souvent dans la tête, tu sais.
17h17 : Heu -y'a rien à répondre je pense- :)
Réagir :
Bas les masques!
A reculons:
[Je n'veux pas rester sage]
(Souv'nir de ce magnifique Nouvel An :) Donc. J'ai pensé que j'avais oublié d'vous conseiller, avec force et conviction, si j'en suis capable ;p, que vous feriez bien de zieuter un d'ces jours "Delicatessen" de Jean-Pierre Jeunet, ça vaut vraiment la peine. Un peu moins tout le monde il est joli qu'Amélie, un peu plus noir et j'aime ça. Vraiment très réussi. Donc dépêchez-vous de vous le procurer. Ainsi que "La Cité des Enfants Perdus" qui est, lui aussi, un très bon film. Très *_* Et donc. Le prof a beaucoup aimé mon livre, 'très bien, tout est très bien, je ne trouve rien à redire.' *_* j'avais un sourire permanent, vous savez, de ceux qui tiennent si fort et qui sont si obstinés, que même à coups d'effort, on ne peut s'en détacher. Même si on veut garder un peu de modestie et pas paraître trop fier, trop satisfait, trop heureux à côté des autres. Mais le sourire est là, qui éclate en pleine figure, qui éclabousse les autres et puis, on est bien, c'est tout. Surtout que j'avais mis du temps et du moi et bref, *_*. Ce soir, j'revois les autres, après notre semaine mythique, j'espère qu'on restera dans cette bonne ambiance. Demain, elles viennent. J'vais tout préparer même si j'ai pas le temps. Car ça me fait drôlement plaisir de les recevoir. Et puis, on regardera Big Fish. Et ce film met des étincelles partout, de toute façon. Et puis, ça me fait plaisir, c'est tout. Et j'ai envie de parler à J. de tout ça. Car ça me bouffe encore. Et ça me bouffe [encore] trop. Et j'peux pas enterrer mon passé ni tout ce que j'ai dû vivre. Hier je lui ai écrit, sur une enveloppe, un petit passage de Fermine. Que certains étaient acteurs de leurs vies et d'autres des funambules qui essaient de garder l'équilibre sur l'arête de la vie. Dit en plus beau, évidemment, c'est 'Neige', c'est pas rien! J'espère qu'elle aura pas compris de travers des choses que je ne voulais pas dire. C'était juste parce que c'est beau. Et donc hier on a peint à l'encre de Chine sur du papier merveilleux. Du papier fait à la cuve, donc tous les bords sont comme déchirés et puis du papier qui n'est pas blanc, une nuance entre le jaune et le crème. Et puis, bien épais, avec une structure qui fait qu'on aimerait le laisser vierge, pour pouvoir juste le toucher, de temps en temps. J'aime ce papier. Donc, je me suis incrustée chez Babou l'autre soir. On s'pressait sous la pluie avec M., c'était très drôle. Chez Babou c'est dans le même genre que 'L'Auberge Espagnole'. C'est en vieille-ville, c'est déjà génial pour ça. Et puis, on arrive devant la vieille porte. On sonne, il arrive, tout sourire. On monte les deux étages, c'est vieux et usé, mais propre, j'aime bien. On arrive, il ouvre une porte et pleins d'effluves s'offrent à nous. Ils sont trois à vivre ensemble, à se cuisiner ce qu'ils veulent librement. Une cuisine à moitié en bordel, à moitié rangée, des affiches, des papiers, des trucs à regarder partout. A côté une sorte d'immense salon, spacieux, joli, que j'ai pas eu le temps de bien voir. Mais aussi ce bric-à-brac que j'adore. C'est grand, ça m'étonne. On engloutit des bonnes pâtes qu'il me propose de manger avec eux. La sauce est un peu forte, mais j'aime tant toute l'ambiance et tout que je n'y pense déjà plus. Puis on rit, on parle, il me montre sa chambre. Grande, grande, grande, ça m'étonne. Puis un peu vieux, mais j'aime l'ambiance, vraiment. Décoré à la Babou, affiches de vieux groupes de rock, vinyles sur les murs, sa guitare posée contre une étagère remplie de romans, je vois pleins de noms d'auteurs russes, quelques titres que je connais, pleins de bandes dessinées aussi. Et puis, assez vide, mais rempli de lui. J'aime. Et puis, surtout, ses dessins. J'adore :). J'lui laisse un 'bouche cousue' sur son papier kraft contre le mur. Et puis, j'ferai le faux facteur une fois, oui, et je lui apporterai du chocolat! Bref, j'aime vraiment son univers.
