Je m'entête dans
[Nosfell]
[27 août :]
[No Surprises]
[American Beauty]
[Ensemble, c'est tout]
[Ahem. Pleins de trucs.]
Ecriveurs...
Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire!
passionnee-par-les-reves : un pti coucou par ici... je découvre doucement...
emberlificoteuse : merci du passage :)
ghislaine : stop au nom de l'amour :D elle est bien bonne celle là! ^^
emberlificoteuse : Ebrahim o_O Arf tu me manques. Pis faut qu'on se voit, avec Elliotte, pis Just' aussi, pis je t'appelle demain pis je squatte pis j'ai le cafard, pis c'est triste.
emberlificoteuse : Ainsi parlait Anne.
ghislaine : Bon débarras!!!! niark niark
Agrume : (je passe par là.)
Anonyme :
[Lien] O_o
Mélie : je sais pas si tu passes encore par là, au début j'm'étais dit que je t'enverrais un mail, puis en fait j'ai pas ton adresse, hinhin... donc voilà. ils manquent, tes mots.
17h17 : merci... :)
[Lien]
Orage : Juste. La note à côté, là. Bien sûr nous eumes des orages... (tiens.) Elle me trotte encore souvent dans la tête, tu sais.
17h17 : Heu -y'a rien à répondre je pense- :)
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Bas les masques!
A reculons:
'Vivre ça suffit pas pour aimer'
Hier j'avais le coeur enserré de partout.
Et puis quelques larmes ont dégringolé sur ma joue. Et je me suis dit que ça devait vraiment être grave. Et j'ai pris deux cartes, les si jolies, celle avec 'Vivre ça suffit pas pour aimer' et l'autre, 'Et pourtant, on était si près de s'envoler'.
Et je leur ai tout dit, mes émotions emberlificotées, le gros capharnüm que j'ai à l'intérieur de moi et puis que je ne voulais surtout pas les voir partir de ma vie. Je crois que la triste tempête s'est calmée. On verra. On verra.
Et aujourd'hui, au jardin botanique, y'avait un drôle de vieux monsieur. Assis sur une grande couverture d'aluminium, avec son pique-nique, son livre, ses cheveux blancs, sa canne et ses vieilles lunettes. J'aurais bien aimé lui parler. Il était de ces vieux monsieurs qui ont l'air charmants et à qui on aimerait bien parler mais on n'ose pas.
Il y avait un chat noir aussi. Alors je suivais le chat. Et je me suis dit, s'il va vers le vieux monsieur, ça sera une bonne raison. Et je n'ai pas osé le suivre. Et il s'est fait nourrir par mon vieil inconnu et moi je l'épiais de loin. A moitié triste, à moitié attendrie.
C'était ce matin. Je me suis promenée un peu partout. Je suis aussi rentrée dans un immeuble au hasard, je suis montée et m'suis assise et j'ai attendu, dans les escaliers. J'écoutais les voix derrière les portes, je remuais mon cafard, toute seule.
J'avais prétexté que je me promenais dans la rue pour enregistrer mes rires, exclamations, soupirs, etc. Car je voulais faire ça à la base. Car le type dans Amélie, celui qui enregistre les rires, je le trouve vraiment génial. Et puis je me suis dit qu'un jour je devrais aussi enregistrer des rires. Je me suis bien vite rendue compte que c'est très difficile. Car y'a tout le bruit de fond et on entend plus grand chose. Faut avoir les réflexes et la discrétion pour. Et bref, je finirai sûrement pas enregistrer mes bruitages. Comme j'avais prévu au début.
J'aime bien ici en fait. Ca me plaît.
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Feu
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Petit article que j'ai bien aimé, avec un goût de je-ne-sais-quoi... Sentir le temps qui passe.
Ca m'a fait sourire de constater que je fais souvent comme toi : parfois, j'ai envie de parler à certaines personnes, certains inconnus, qui ont l'air avenant, une vieille dame au sourire délicieux, un jeune homme dans la lune...
Et aussi, souvent, je pousse la porte d'un immeuble, et si elle peut s'ouvrir simplement, j'entre. Je monte quelques étage, une petite peur au ventre, un peu. Et puis je savoure. Les bruits, le crachement des marches, les pas feutrés sur le tapis de l'escalier.
J'aime bien. Juste sentir.
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à 11:26