Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

| Avec des si, elle scierait |


Je m'entête dans
[Nosfell]

[27 août :]

[No Surprises]

[American Beauty]

[Ensemble, c'est tout]

[Ahem. Pleins de trucs.]


Ecriveurs...

Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire!
passionnee-par-les-reves : un pti coucou par ici... je découvre doucement...
emberlificoteuse : merci du passage :)
ghislaine : stop au nom de l'amour :D elle est bien bonne celle là! ^^
emberlificoteuse : Ebrahim o_O Arf tu me manques. Pis faut qu'on se voit, avec Elliotte, pis Just' aussi, pis je t'appelle demain pis je squatte pis j'ai le cafard, pis c'est triste.
emberlificoteuse : Ainsi parlait Anne.
ghislaine : Bon débarras!!!! niark niark
Agrume : (je passe par là.)
Anonyme : [Lien] O_o
Mélie : je sais pas si tu passes encore par là, au début j'm'étais dit que je t'enverrais un mail, puis en fait j'ai pas ton adresse, hinhin... donc voilà. ils manquent, tes mots.
17h17 : merci... :) [Lien]
Orage : Juste. La note à côté, là. Bien sûr nous eumes des orages... (tiens.) Elle me trotte encore souvent dans la tête, tu sais.
17h17 : Heu -y'a rien à répondre je pense- :)

Réagir :
Nom
Adresse web

Bas les masques!
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


A reculons:
Août 2005 : 8 articles
Juillet 2005 : 10 articles
Juin 2005 : 20 articles
Mai 2005 : 14 articles
Avril 2005 : 12 articles
Mars 2005 : 14 articles
Février 2005 : 10 articles
Janvier 2005 : 15 articles
Décembre 2004 : 8 articles

Putain de merde j’en ai marre, les mots en trop, tout qui déborde, la vie qui s’en mêle, qui s’emmêle, les idées qui se tordent et disparaissent trop vite, tout est fracassé, je m’en sors plus, je suis perdue là au milieu et ça ne suffit pas, il a besoin de venir titiller l’équilibre précaire de tout ça et voilà paf, fallait bien que ça tombe. Fallait bien que ça s’arrête cette année trop parfaite, fallait bien que je perde pieds. Vous auriez dû la voir, dans son manteau rouge, déambuler dans la neige, la gorge serrée et les larmes qui ne sortent pas et tout qui va exploser, elle marche, de travers, elle est aussi mal en point que ces foutus escaliers, alors oui, ça éclate, elle va se réfugier sur la place de jeux de quand elle était petite, elle veut s’asseoir sur la balançoire, glisse dessus, c’était le dérapage de trop, elle se cache dans la petite cabane, elle se jette par terre, de la neige partout, le froid qui la ronge, elle éclate en sanglots, toujours plus fort, elle a toujours plus mal, ah oui, vous auriez dû la voir la malheureuse, elle était si perdue, si désemparée, le visage rempli de ces larmes qu’elle enferme toujours, elle ne veut pas de ces faiblesse, elle ne veut pas de compassion, elle veut être forte, mais ça éclate, car les cœurs ça s’abîme et là c’en était trop… elle sanglote toujours plus douloureusement, toute secouée, toute perdue, se trouvant pathétique, mais les larmes s’échappent et elle, elle ne trouve rien de mieux que ressasser toute cette marée noire, oui la marée noire, elle dit comme ça pour tous ces petits rien qui s’entassent et qui un jour ou l’autre deviennent une grande marée noire trop lourde à supporter, trop dure à affronter, elle est perdue, elle n’a plus le temps, elle ne sait plus ce qu’elle veut, elle s’énerve, fallait pas laisser une faille, maintenant tout le torrent de lamentations s’échappe de son cœur rafistolé comme elle a pu au fil des années, elle se lève, sèche ses larmes et ça recommence, la voix qui se casse, elle ressasse tout ça, elle avance, tête cachée sous son capuchon, elle marche elle marche elle marche, elle ne sait plus si elle le déteste, si elle est triste, si elle est dépassée débordée par tout ça qui va trop vite, encore et toujours ‘hey la vie, attendez-moi’, elle pense à j. et se demande pourquoi elle l’a laissé partir, elle se demande si c’est pas les mots qui lui plaisent le plus et non l’art en général, elle doute de tout, elle se sent pas à sa place, elle pleure elle s’abandonne à ce trop-plein d’émotions contenues au fil de jours, la carapace se brise, elle en est toujours au même stade, sous sa façade de bonheur et de bien être, petit chaperon rouge toujours aussi désemparé face à la vie, toujours aussi perdue dans ses émotions, toujours aussi seule, elle ne veut se lamenter, elle n’aime pas ça, ce sont les faibles qui le font, elle rit nerveusement tellement elle se trouve pathétique, perdue dans ce champ à pleurer comme une démente, elle s’obstine à penser ça mais les larmes continuent à inonder son visage, elle se couche dans la neige, crispée de partout, elle a envie d’avoir mal à cause du froid, pour qu’elle arrête de pleurer pour tout ça, mais rien n’y fait, elle respire, elle s’arrête et elle ne s’arrête plus, elle sanglote et désespère, paumée au milieu de tout ça, elle crie, qu’elle ne sait plus comment s’y retrouver, c’est trop lourd à porter toute seule, une vie. elle se met à le mépriser, mais rien n’y fait, elle sait bien qu’au fond il avait raison. mais putain comment elle va s’en sortir, perdue perdue perdue dans ce monde trop grand pour elle…

[Ce texte est immonde, je suis désolée de vous infliger ça, je me trouve toujours aussi pathétique, à m’apitoyer sur moi comme ça, mais j’ai besoin d’extérioriser..]

 

Ecrivaillé par emberlificoteuse, à 22:06 dans son "Brikabrak".

Bouches décousues!

  Emmylou
22-02-05
à 18:51

[Même si c'est pas marrant, c'est pas horrible.]

Juste, http://www.psychologies.com/cfml/articleWeb/c_articleWeb.cfm?pleinepage=oui&id=3568&pleinepage=oui
j'm'ai dit que ça pouvait t'intéresser (et/ou te changer les idées)
...