| Avec des si, elle scierait |

Wouaw, ce soleil et ciel bleu, air d'été ("Si tu ne sais pas quoi leur dire, parle leur du temps". Disait Paul Auster à Sophie Calle), me mettent dans tous mes états, euphorique, heureuse, j'éclate de rire pour un rien, je tire en avant pleins de trucs, je veux voir des gens, je me sens de plus en plus sociable, besoin de contacts, de sortir, de voir de nouvelles personnes, de discuter, partager,... J'aime la solitude mais j'apprécie beaucoup le contact, en fait. Et puis ouais sortir ou recevoir des gens, ça me plaît. Envie de changer ici, de faire un truc beaucoup plus sobre, plus léger, plus flottant, je ferai ça quand j’aurai du temps.
Wouaw, j'viens de ressortir mon violon avant, que je néglige on n'peut plus... :/ et c'était que du plaisir, si seulement j'avais plus de temps.
Et puis, un peu de nostalgie hier dans le train en voyant deux personnes à cheval, ça me manque, ces longues ballades en forêt, ces journées perdues dans la nature, chevauchant ce bon vieux Cashan... Je l'avais presque oublié. Même si je ne regrette pas mon choix, ça me manque tout ça. Et puis, même lorsqu'il faisait, même lorsqu'on était trempées, même lorsque les chevaux étaient trop nerveux, ça me manque tout ça. Oh, c'était quand même quelque chose.