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Ecriveurs...

Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire!
passionnee-par-les-reves : un pti coucou par ici... je découvre doucement...
emberlificoteuse : merci du passage :)
ghislaine : stop au nom de l'amour :D elle est bien bonne celle là! ^^
emberlificoteuse : Ebrahim o_O Arf tu me manques. Pis faut qu'on se voit, avec Elliotte, pis Just' aussi, pis je t'appelle demain pis je squatte pis j'ai le cafard, pis c'est triste.
emberlificoteuse : Ainsi parlait Anne.
ghislaine : Bon débarras!!!! niark niark
Agrume : (je passe par là.)
Anonyme : [Lien] O_o
Mélie : je sais pas si tu passes encore par là, au début j'm'étais dit que je t'enverrais un mail, puis en fait j'ai pas ton adresse, hinhin... donc voilà. ils manquent, tes mots.
17h17 : merci... :) [Lien]
Orage : Juste. La note à côté, là. Bien sûr nous eumes des orages... (tiens.) Elle me trotte encore souvent dans la tête, tu sais.
17h17 : Heu -y'a rien à répondre je pense- :)

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A reculons:
Août 2005 : 8 articles
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Mars 2005 : 14 articles
Février 2005 : 10 articles
Janvier 2005 : 15 articles
Décembre 2004 : 8 articles
Juste sentir...

Le fil de la vie qui se déroule, tourbillon d'émotions.

Ce sentiment de bonheur du week-end dernier, cette sensation de vie intense, oui sentir la vie comme dit Feu, se sentir vivre bien fort, le percevoir, en prendre conscience, s'arrêter et juste savourer.

Puis la semaine et son lot de stress et de tension qui reprend le dessus, ce poids, cette lassitude. Journées fatiguantes, harassantes, le bonheur diparaît au profit du stress et de l'écoeurement. Terminer mes journées toujours plus tard, toujours du travail à terminer, horrible dessin d'observation à l'encre de Chine, logos et dépliant à réaliser, dossier de présentation,...

Marre de voir des gens continuellement, envie de m'arrêter, de m'entendre penser, de ne plus devoir faire semblant, se forcer à...  Et puis petit bout de bonheur avec J. jeudi soir, avant d'aller au théâtre. Eclats de rire. On esquisse un petit bout de Tiersen, "Redécouverte" elle au piano, moi au violon... Et puis son cadeau, pour mon anniversaire, avec trois mois de retard :) Ramené de Chine, elle me dit... J'ouvre les nombreux emballages superposés toute excitée, comme une gamine, dans dix minutes on à la répét' je me dépêche, on éclate de rire, j'ouvre ça comme une sauvage, elle qui s'excuse "Je pensais pas que tu serais pressée" à chaque nouvelle couche de papier je pousse un cri de désespoir en rigolant en même temps. Puis enfin, c'est terminé. Un merveilleux petit encrier ayant appartenu à un enfant en Inde, oh, elle me connaît si bien, je suis toute enthousiasmée, grand sourire, à peine le peine le temps de la remercier que déjà on commence notre course folle en vieille-ville, éclats de rire dans l'air, en train de déblatérer nos répliques à tour de rôle, oubliant tout, souriant sans plus pouvoir s'arrêter. Après cette horrible journée [mon emportement avec cette foutue prof, en train de lui répondre avec insolence et aggressivité, mais elle m'a mis à bout de nerfs, cette année j'avais réussi à me contenir et à n'avoir que de bons rapports avec les profs, mais celle-ci, affreuse. Elle me fait sortir de mes gonds, comme on dit], c'est le bonheur complet que de la retrouver... et à nouveau, elle me remercie pour ce week-end à la ruche, elle me dit tant de belles choses... Arf... *_* C'est rare une amitié pareille.

Et puis vendredi, j'ai besoin de décompresser, je passe ma journée au lit, à lire, lire la lettre merveilleuse de Siboup, toute délexquisavouricieuse, comme je lui ai dit... Ca m'illumine de sourires. Et puis terminer "Le Soleil des Scortas". Magnifique livre. Puis écrire un peu, me reposer, m'arrêter, prendre le temps, m'alléger de tout... Arf, que ça fait du bien.

Un peu de colère avec mon paternel, lorsque je l'entends dire "L'homosexualité est une tare, une maladie, pour moi." Affreux. Ca me met hors de moi. Comment est-ce possible de penser ainsi. Je n'avais jamais voulu aborder le sujet avec lui jusqu'à ce jour, étant persuadé de nos divergences d'opinions, mais là, tout est ressorti... Je lui ai assené tout ce que je pensais de ça, qu'il était fermé et arriéré d'idées, qu'il n'acceptait pas la différence alors qu'en bon catho qu'il est il est plutôt à prôner partage et respect, qu'il manquait de respect envers eux en les traitant d'anormaux, qu'il refusait d'évoluer et de faire avancer ces idées, bref finalement on s'est dit tout les deux que c'était plus simple d'en rester là, tant nous étions aux antipodes l'un de l'autre. Argh. Que ça m'énerve. Pas possible.

Et puis, hier, chouette soirée, à monter sur les échaffaudages et à se retrouver sur le toit de l'église pour manger notre fondue... Regards surpris des passants, regards amusés de notre part, tout excités de notre repas dans ce lieu insolite... ^^
Chouette ambiance, puis, redescendus, ça part en fous rire avec nos parties de foot improvisées... Puis on va terminer ça en allant boire un verre au B. Endroit très sympathiques, singulier, j'aime, l'ambiance, la musique, la déco, le genre, tout, c'est vraiment chouette.

Et puis voilà, ça va mieux, je suis à de nouveau en forme, reposée, calme, bien. Huhuh :)

Ecrivaillé par emberlificoteuse, à 19:39 dans son "Brikabrak".